Aussitôt je te touche et ton grain m’apaise,
A tes pieds je me couche et plus rien ne me pèse,
Par le passé déjà, ma fatigue en bandoulière,
Tu m’as pris le bras, as écouté mes prières,
Au soleil, sous la lune, près de toi,
Je reçois la lumière.
Ils te disent menhir ou pierre,
Je te sens amante ou mère.
Prenons soin de nous, restons libres, soyons insolents.
Mitákuye Oyás’iŋ

Cette pierre me rappelle une sur Belle-île en Mer, votre poème lui va bien, très bon week-end
J’aimeJ’aime
Heureux que ce poème vous fasse voyager un peu ! Merci
J’aimeAimé par 1 personne
Quel beau texte
J’aimeJ’aime
Merci 😉
J’aimeJ’aime